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Le Cambodge vient d’interdire les balades à dos d'éléphant, dans le site archéologique d’Angkor. Pointé du doigt par les associations de défense des animaux, le dressage des pachydermes y est souvent brutal.
Une balade pour les touristes, un supplice pour les éléphants
En 2016, l’éléphante Sambo est morte après avoir transporté des touristes durant 45 minutes sous une chaleur de plomb. Une pétition a alors été lancée afin d’interdire l’utilisation des éléphants pour des besoins touristiques, et a récolté plus de 185 000 signatures.
“Il n’existe pas de promenade sans cruauté. Les touristes pensent que monter un éléphant durant leur vacances ne fait aucun mal, mais le plus souvent vous ne voyez pas la cruauté, elle est cachée. Ce que vous ne réalisez pas, c’est que, cette expérience exceptionnelle “qu’on ne vit qu’une fois dans sa vie”, signifie toute une vie de souffrance pour les animaux sauvages.”, dénonce la pétition.
Sambo avait entre 40 et 45 ans - Crédit : Yem Senok/Facebook
L’APSARA, l’autorité de gestion cambodgienne chargée de la protection du parc archéologique d'Angkor, a pris au sérieux cette pression de la population. 14 éléphants ont déjà été transférés dans la forêt de Bos Tham, proche du site archéologique. Elle annonce que tous les éléphants auront quitté le site d’Angkor d’ici 2020.
“L’éléphant est un grand animal, mais il est aussi très gentil. Nous ne voulons plus que les animaux soient utilisés pour des activités touristiques. Nous voulons qu’ils vivent dans leurs habitats naturels”, explique Long Kosal, porte-parole de l’APSARA.
La libération des animaux sauvages prend de l’ampleur
Il n’y a pas qu’au Cambodge que le combat pour le bien-être des animaux sauvages porte ses fruits.
A Paris, une mesure vient d’être votée, interdisant aux cirques d’exploiter des animaux sauvages dans leurs spectacles, dès 2020. Un peu avant, ce sont Madrid, Londres et sept états américains qui ont fait de même.
La Turquie va également bientôt voter une loi sanctionnant sévèrement la maltraitance animale et l’abandon. Le rapport parlementaire sur les droits des animaux qui est à l’origine de cette loi à venir, suggère également d’interdire les cirques d’animaux et les delphinariums.
Toutefois, ce n'est pas parce que les cirques n'ont plus recours aux animaux sauvages pour leurs numéros, que cela signifie qu'il n'y aura plus d'animaux au cirque. Le cirque Roncalli, en Allemagne, a décidé de remplacer les animaux en chair et en os par des hologrammes ! Un moyen de profiter d'un bon spectacle sans que personne n'en souffre.
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