Lady Di, 20 ans après : retour sur les causes défendues par la Princesse du Cœur

Publié le 31 août 2017 (modifié le 20 février 2023 à 22h15)
Par Solidarité Sida
Temps de lecture : 2 mins

Il y a 20 ans, Diana Spencer, ex-Princesse de Galles, s’éteignait des suites d’un accident de voiture à Paris. Connue du grand public pour son union avec le prince Charles, fils de l’actuelle Reine d’Angleterre, elle était aussi – et surtout aimée – pour son engagement en faveur de grandes causes caritatives et humanitaires, notamment le sida, la lèpre, ou encore les mines antipersonnel.

 

Le sida et la lèpre

« Les malades du sida ont besoin d’être embrassés, comme tout le monde ». Marraine de l’association de lutte contre le sida National Aids Trust, Lady Diana cherche à changer l’image de la maladie encore mal connue à son époque. Elle se rend ainsi à de nombreuses reprises dans les hôpitaux pour visiter des malades, et est l’une des premières personnalités à toucher publiquement un malade, pour montrer au grand public que la maladie ne se transmet pas par simple contact. Aujourd’hui, alors que 36,7 millions de personnes vivent avec le sida dans le monde, il n’est toujours pas possible de guérir la maladie, même si les traitements sont de plus en plus efficaces. La lutte doit donc continuer pour :

  • faire avancer la recherche, afin d’améliorer les conditions de vie des personnes séropositives
  • augmenter le nombre de personnes traitées, notamment en Afrique où de nombreuses personnes sont porteuses du virus sans le savoir ni se soigner

Retrouvez en bas d'article des associations mobilisées contre le sida pour les soutenir.

 

Les mines anti-personnel

Généreuse et courageuse, Lady Di s’engage personnellement dans le combat contre les mines anti-personnel, en traversant un champ de mines en Angola, au risque de sa vie. Elle rend également visite aux victimes de ces mines en Bosnie, suite à la guerre qui a déchiré l’ex-Yougoslavie. L’engagement d’une personnalité aussi populaire que « La Princesse des cœurs » est considéré comme un élément décisif pour l’aboutissement du traité d’Ottawa pour l’interdiction des mines anti-personnel, signé par 122 pays en 1997. Aujourd’hui, il est essentiel de perpétuer ce combat, car malgré ce traité, ce sont encore plus de 6 400 personnes qui ont été blessées ou tuées par des mines anti-personnel en 2015.

L'association

Solidarité Sida

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